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J’ai épousé un Monstre !


Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ======Premier extrait====== Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

Je décidai un soir, après avoir quitté ma coiffeuse, de montrer ma nouvelle coupe de cheveux à mon homme, et lui faire une petite surprise. Il était 20 heures et la plupart de ses employés étaient déjà partis. L’agent de sécurité avait voulu m’annoncer dès mon arrivée, mais je refusai et montai l’immeuble nouvellement construit par mon homme d’affaires de mari pour abriter le siège de sa société.

Consciente qu’il pouvait me voir avec les multiples caméras installées, je baissai la tête en montant les escaliers. Je poussai la porte de son bureau qui n’était pas fermée à clef.
— Coucou, surprise ! C’est moi ! Dis-je avant de me figer comme une image mise en pause.

Mon mari était bien là, mais pas seul. Deux de ses nièces d’à peine 20 ans étaient là aussi, ils étaient tous nus en pleins ébats dans son bureau transformé en bordel. Sous le choc, je les regardai un instant avant de ressortir sans un mot, sans fermer la porte et rentrai à la maison. J’espérais faire une petite surprise à mon mari, c’est lui qui m’avait grandement surprise. J’étais à mille lieues d’imaginer une telle scène et si mon imagination devait être aussi fertile, jamais je n’aurais imaginé ses nièces dans le rôle d’actrice de films pornographiques.

« C’était qui cet homme ? Est-ce l’homme avec qui je suis mariée ? Celui à qui j’ai fait des enfants ? » Je croyais le connaitre, mais ce n’était pas le cas. Ce soir j’abandonnai le lit conjugal pour dormir dans la chambre de ma fille aînée. Divorcer était la première idée qui m’ait traversé l’esprit. Mais je devrais me calmer et ne prendre aucune décision sous l’effet de la colère.

Quand mon mari rentra vers 1 heure du matin, tout le monde dormait déjà. Après avoir remarqué mon absence dans notre chambre, il me vit dans le lit de ma fille. Croyant que je dormais, il referma la porte et retourna se coucher. Malgré la fatigue due à l’attente et au temps passé chez ma coiffeuse, je n’arrivais pas à dormir et les allées et venues de ma fille aux toilettes pour vomissements m’intriguaient.

Vers 3 h du matin, alors qu’enfin le sommeil, aidé par la fatigue commençait à m’accueillir, ma fille se leva encore une fois pour aller vomir.
— Depuis quand tu as ce problème de vomissement Sonia ? Demandai-je excédée et agacée.
— Maman, je dois te parler, dit-elle en éclatant en sanglots.
Mais non, ma chérie, ne pleure pas, demain je t’amène à l’hôpital et ce sera réglé…
— Non, maman, ce n’est pas un problème d’hôpital, c’est, c’est…
— C’est quoi ? Qu’est-ce que tu veux dire ma chérie ? Tu as des problèmes à l’école ?
— C’est papa ! Il m’a violée !
— Quoi !? Quel papa !?

J’avais presque oublié l’heure qu’il était ; je criai si fort que mon monstre de mari se réveilla. Il n’était pas encore complètement sorti de son sommeil que je lui brisai une bouteille de bière sur la tête. La température très froide de la boisson le tira définitivement de son sommeil, s'ensuit une bagarre dans laquelle il ne se défendait presque pas, je voyais très bien qu'il ne voulait pas se battre.

Si j'avais été horrifiée par la scène que j'avais vue dans son bureau, ce qu'il avait fait à ma fille n'avait pas de nom. Quand je réussis à attraper ses testicules dans ma main et commençai à les serrer avec une réelle envie de les faire exploser, il hurla si fort que les enfants se réveillèrent.
— Espèce de malade, je croyais que Sonia était comme ta propre fille. Tant que tu ne me diras pas ce qui t’a pris, ce pourquoi tu n'as pas pu te retenir, je te jure que je t'explose tes bijoux de famille.

Malgré ses coups de griffes et les morsures, je tenais bon, il se tordait de douleur et soudain, il ne bougeait plus. J'avais cru naïvement, pendant un court instant qu'il était mort, mais quelques instants après, il se mit à gémir, torturé par la douleur. Toute la chambre empestait la bière, les draps étaient maculés de nos sangs, coulés des blessures causées par les tessons de bouteille. Son front était enflé, mais pas blessé ; j’aurais pourtant aimé le contraire et lui laisser des marques à vie.

Je rejoins la chambre de ma fille, calmée et presqu’empreinte de regrets pour la force dévastatrice dont j’avais fait preuve et dont j’ignore les conséquences qui pourraient éclipser l’acte abominable de mon monstre de mari. J’avais des blessures sur le corps, cela ne m’empêcha pas d’amener ma fille dès le lendemain chez la gynécologue pour des examens. Sonia était bien enceinte de 6 semaines. Je pris immédiatement la décision d'interrompre cette grossesse tout en suppliant le médecin de prendre toutes les précautions pour préserver la santé de ma fille.

Une fois ma fille débarrassée de ce qu'elle portait, j'entrepris de trouver un appartement afin de partir définitivement de cette maison, mais au moment où j’avais commencé à ramasser nos affaires, mon mari l’avait su et avait commencé à me supplier ; il disait qu'il était certainement malade, qu'il souffrait d'une addiction au sexe et promit aller se faire soigner dans une clinique spécialisée aux USA.

Une fois encore, ma naïveté prit le dessus et je lui donnai une chance et surtout pour épargner des soucis à mes parents chez lesquels j’envoyai désormais ma fille aînée malgré les questions que cela suscitait. Comment avais-je pu vivre pendant une décennie avec un homme sans m’apercevoir de son côté pervers, obscène, et obscur ?

Mon mari parti pour ses soins, je commençai à enquêter sur lui, dans son entourage, auprès de son personnel du bureau et au fil des semaines, les pires horreurs commencèrent à sortir.
Je sus que tout le personnel féminin à son bureau avait subi le droit de cuissage, il avait usé de sa position de patron pour coucher de gré ou de force avec toutes les filles de sa société. Je sus que sa secrétaire était enceinte de lui pour la deuxième fois, mais aussi qu’il était en froid avec deux ministres du gouvernement, parce qu’il avait couché avec la femme de l’un et prit la maîtresse de l’autre.

Mon mari avait cocufié la plupart de ses amis grâce à sa fortune. Il avait brisé bon nombre de foyers à cause de sa supposée maladie, une sorte d’addiction au sexe. Mon mari est allé jusqu’à coucher avec la femme de l’un de ses chauffeurs, parce que ce dernier était malade et avait envoyé sa femme pour récupérer son salaire. Il n’en fallait pas plus pour que son patron commence à harceler la pauvre dame, qui finit par céder entre autres à cause de l’opulence et des moyens dont l’évidence ne faisait aucun doute.

Mon mari avait franchi toutes les limites de l’acceptable, de l’envisageable, toutes les raisons qu'une femme pouvait avoir pour se sentir à l'aise dans sa décision de divorcer étaient à ma portée. J'avais eu tort de lui avoir accordé une chance. Mais rien ne pouvait m’empêcher de revenir sur ma décision. Et pourtant, j'étais là à attendre qu'il revienne, peut-être que la science trouverait une solution à ses problèmes.

Pendant son séjour aux USA, il y avait un baptême traditionnel dans sa maison familiale où je revis ses deux nièces libertines et dévergondées surprises avec lui dans son bureau. J'en profitai pour leur interdire l’accès de notre domicile. Elles n’étaient plus du tout les bienvenues chez nous. J'étais en permanence au bord de la folie, j'explosais instantanément en sanglots à chaque fois que la confession de ma fille me revenait. Tout semble croire que mon mari ne se protégeait pas dans ses délires sexuels. Il ne savait même pas ce que c'était.
De quoi m’aurait-il infectée ?

Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ======Deuxième extrait====== Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

Je remontai dans la chambre pour lui signifier que je partais, que tout était fini entre nous, de ne plus chercher à me voir. Je remarquai qu'il était déjà réveillé, mais avait du mal à se lever. Il avait les yeux bien ouverts, mais n'arrivait pas à parler.
Le constat sera fait plus tard qu'il avait fait une crise, un AVC et était paralysé. Les impôts et le redressement fiscal en étaient forcément pour quelque chose.
Je ne savais pas comment interpréter cela, mais à chaque fois que je devrais partir de cette maison infernale, il y avait toujours quelque chose qui m’y retenait.


J’appelai ma mère pour l’informer de la situation. Elle était toujours en colère :
— Et tu veux quoi ? Que je te donne des remèdes de grand-mère pour soigner la tension ou la paralysie ? Eh bien ma fille, le cas de ton monstre de mari est désespéré, mais tu peux toujours lui donner de la mort aux rats ou du raticide, l’important est qu’il crève ! Qu’il aille pourrir en enfer !
— Maman, je sais que tu es toujours remontée, mais tu sais très bien que ce n’est pas à nous de dire qui mérite ou pas de mourir, quand bien même…
— Reste là à tenir des raisonnements de gamine écervelée. Cet homme a violé ta propre fille, couché avec tes sœurs et fait des attouchements sur ta propre mère que je suis, sans parler de sa secrétaire enceinte de lui pour la deuxième fois et bien sûr la femme de son chauffeur qu’il a violée. Ça, c’est ce qu’on sait. Je suis certaine que ce qui reste à découvrir est encore bien pire et tu es là à jouer les épouses modernes attendant qu’il te plonge un peu plus dans l’horreur. Je te préviens, si cet homme te fait encore quoi que ce soit, garde ça pour toi et ne m’appelle plus.


Je sentais au son de sa voix que ma mère pleurait. Espérant qu’elle se calme et que je trouve une autre occasion de partir, j’entrepris malgré moi d’aider cet homme pour qui je ne sens plus rien, à faire des soins pour surmonter cette épreuve.
À l'aide de médicaments et de massages, il retrouva peu à peu ses fonctions et en premier, l’usage de la parole qu’il utilisa instantanément pour accuser ses ennemis d’êtres derrière ce qui lui arrivait, sans jamais se mettre lui-même en cause.

Après quelques semaines de rééducation, il retrouva partiellement sa mobilité, en tout cas suffisamment pour décider de se rendre chez un autre marabout qui avait selon ses dires, des solutions radicales à tout problème. Je l'avais accompagné pour l'occasion malgré moi. J'étais le chauffeur, parce qu'il n'arrivait pas encore à bien conduire et ne voulait pas de la famille ou de tierces personnes pour un tel voyage.

Après près de 3 heures de route, parfois chaotique par endroits, nous nous retrouvâmes dans un village perdu en pleine forêt, à 250 km de la capitale.

Il y avait au moins une douzaine de grosses voitures qui étaient déjà là. Discrétion oblige, toutes les plaques d'immatriculation étaient cachées par des torchons posés par le service d'ordre du maître des lieux.

Tout ce monde était venu chercher sans doute des solutions radicales à leurs problèmes. Après des heures d'attente, le maître des lieux nous reçut à 14 heures, alors que nous étions là déjà à 10 heures. Il consulta des tas de trucs, des miroirs, des calebasses et après plusieurs incantations, le diagnostic tomba, suivi des remèdes.

— C'est un miracle que vous soyez encore en vie, monsieur, dit le marabout. Vous avez beaucoup de problèmes, mais la plupart viennent de vous, votre comportement, vos agissements, la façon dont vous traitez les autres. Vous avez causé beaucoup de mécontentements, brisé des foyers, gâché des vies. Beaucoup de gens vous en veulent et vous en veulent à mort ! Si moi je n'ai pas de solution pour vous, personne d'autre n'en aura pour vous. Vous êtes venus au terminus. Nous allons procéder étape par étape, mais très vite: votre paralysie n'a rien de naturel, cela a été provoqué par quelqu'un que vous avez mis très en colère, quelqu'un sur qui vous avez autorité et dont vous avez couché avec la femme. Vous voyez qui c'est ?

Mon mari remua négativement la tête, la liste est certainement longue et il ne pouvait pas se rappeler.
— Je lui retourne à l'instant même ce mauvais sort qu’il vous a jeté, continua le marabout. Et avant même que vous n'arriviez chez vous, vous serez complètement guéri. Vous saurez plus tard avec l'apparition de la maladie chez lui, qui est l'auteur de cette malédiction. Par ailleurs, votre âme, votre vie ont été déjà remises à un fétiche dont je reconnais la force et la puissance et dont je respecte la foudroyante efficacité à donner la mort; vous ne pouvez malheureusement pas échapper à ce destin. À moins que…
— À moins que quoi ? Demanda mon mari.
— Avec quelques sacrifices d’animaux, vous resterez en vie, mais pauvre, vous vivrez à la limite de la mendicité et vous resterez bien conscient de la souffrance, de la douleur, de l'humiliation qui seront les vôtres. Mais pour retrouver votre opulence et la respectabilité qui va avec, il y a une solution et j'aimerais, si vous le permettez, que votre épouse sorte et nous laisse seuls pour que je vous le dise. Mais, elle peut aussi rester, si vous estimez qu’elle est digne de confiance à toute épreuve.
— Qu’elle reste !
— Très bien. J’ai la possibilité de donner une autre vie en sacrifice à la place de la vôtre. Mais cette vie doit être de votre sang. Seriez-vous prêts à donner un de vos enfants en sacrifice ? Ce sera sa vie pour que tout ce que vous désirez soit de retour…


Je regardais mon mari, sans pouvoir détacher mes yeux de lui. La mère que je suis était horrifiée à l’idée même qu'on puisse penser à sacrifier un être humain pour retrouver une gloire perdue. Pour moi, sa réponse ne devrait souffrir d’aucune ambiguïté. Je n'avais aucun doute sur ce qu’il allait dire, je savais que ce serait NON ! Et trois fois non ! Mais quand mon mari ouvrit la bouche pour donner sa réponse, il dit :
— Est-ce qu’un seul enfant suffira ?

Non, non, vous n’avez pas mal lu. Il a bien demandé si le sacrifice d’un seul de ses enfants suffirait à lui faire retrouver sa gloire perdue…ou s'il faut en sacrifier plusieurs...

Commentaires

  1. Après 5 ans de relation avec mon petit ami, il a soudainement changé et a cessé de me contacter régulièrement. Il proposait des excuses pour ne pas me voir tout le temps. Il a cessé de répondre à mes appels et à mes sms et il a cessé de me voir régulièrement. J'ai ensuite commencé à le rencontrer avec différentes amies de filles, mais à chaque fois, il disait qu'il m'aimait et qu'il avait besoin de temps pour réfléchir à notre relation. Mais après que j’ai contacté (padmanlovespell@yahoo.com), Dr.Padman du temple des sorts jeté un sortilège d’amour et après un jour, mon petit ami a commencé à me contacter régulièrement et nous avons emménagé ensemble au bout de quelques mois et il était plus ouvert à moi. qu’avant et il a commencé à passer plus de temps avec moi que ses amis. Nous nous sommes finalement mariés et nous sommes maintenant mariés avec bonheur depuis 2 ans avec un fils. Depuis que le Dr. Padman de padmanlovespell@yahoo.com m'a aidé, mon partenaire est très stable, fidèle et plus proche de moi qu'auparavant

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